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Être conversationnel sur LinkedIn, ce n’est pas juste paraître casual. C’est créer les conditions d’un vrai échange : naturel, léger, et adapté à la personne à qui tu t’adresses.
Sur une plateforme saturée de messages sales, ce qui fait la différence, c’est un ton humain, un contexte pertinent, et une ouverture naturelle. Le but n’est pas de convertir dès le premier message, mais de lancer une conversation qui peut mener à quelque chose de concret.
Une bonne approche commence souvent par un icebreaker.
Ça peut être aussi simple que de mentionner une visite récente sur ton profil ou une interaction avec ton contenu.
Exemple :
“Hey, j’ai vu que tu avais checké mon profil, curieux de savoir ce qui t’a amené ici.” C’est personnel sans être intrusif.
Et si tu n’as rien de spécifique à mentionner, même un léger :
“Curieux de savoir comment tu gères ton outbound en ce moment ?”
peut marcher. Ces petits signaux donnent à ton message un côté contextuel plutôt que random.
À partir de là, guide doucement l’échange avec des questions ouvertes qui invitent à réfléchir plutôt qu’à subir une pression. Demande-leur quels sont leurs challenges, comment leur équipe est organisée, ou sur quoi ils focus ce trimestre.
L’objectif, c’est de les faire parler et surtout, d’écouter activement. Quand ils répondent, ne saute pas direct dans un pitch : rebondis sur ce qu’ils ont dit. Montre que tu fais attention et que tu comprends leur réalité. C’est comme ça que tu construis du rapport et de la confiance.
Une fois qu’il y a eu un peu de back-and-forth, tu peux amener de la value. Mais au lieu de passer en mode sales agressif, reste léger et présente ça comme une offre :
“Je pense avoir un truc qui pourrait t’aider par rapport à ce que tu disais, tu veux que je te l’envoie ?”
C’est low-pressure et efficace, parce que tu proposes une ressource, pas une décision immédiate.
Si l’échange continue positivement, tu peux naturellement proposer un next step : un quick call, partager un case study… L’important, c’est de rester dans le rythme de la conversation. Si tu pushes trop fort, trop tôt, tu casses le flow.
Sur LinkedIn, tu ne vends pas à un lead, tu parles à une personne.
Et si tu gardes un ton friendly, un contexte pertinent, et un bon timing, tu verras que beaucoup plus de gens que tu ne l’imagines sont prêts à répondre.
La question de savoir s’il faut ajouter une note dans ta connection request est plus stratégique qu’il n’y paraît.
Beaucoup pensent qu’un message personnalisé augmente toujours le taux d’acceptation, mais la réalité est plus nuancée.
Aujourd’hui, le comportement de LinkedIn montre que, dans certains cas, une note peut même réduire tes chances, surtout si elle ressemble trop à un template pas naturel ou à un pitch commercial.
Le facteur le plus important, c’est le contexte.
Si tu contactes quelqu’un dans une niche très spécifique, ou si tu partages une connexion ou un background commun, alors une note courte et bien écrite peut vraiment faire la différence.
Mais si ton message sonne générique ou mal aligné, la note devient un frein.
Il y a aussi l’aspect pratique :
Avec un compte gratuit, tu es limité à 10 invitations / mois avec note, contre 150+ par semaine sans note.
Les notes sont limitées à 200 caractères, alors qu’une invitation sans note te permet d’envoyer un message de 300 caractères après acceptation.
En pratique : si tu n’as pas une bonne raison d’ajouter une note (contexte partagé, interaction récente, hook pertinent…), mieux vaut souvent ne pas en mettre.
Une note doit apporter de la clarté ou de la relevance, pas juste remplir l’espace. Dans beaucoup de cas, une simple invitation avec un profil solide, suivie d’un message bien pensé après l’acceptation, performe mieux qu’une note faible envoyée upfront.
Cela dit, avec un compte payant comme Sales Navigator, où les limites sont bien moins strictes, une note courte et bien ciblée peut booster significativement tes résultats. Les données montrent même qu’une note personnalisée peut presque doubler ton taux de conversion.
Bien utilisée, une note n’est pas juste une politesse : c’est un avantage compétitif.
Partager un lien sur LinkedIn peut sembler simple, mais mal le faire peut réduire drastiquement ta visibilité.
L’algorithme LinkedIn dépriorise le contenu qui pousse les users à quitter la plateforme. Résultat : optimiser le placement et le format de tes liens est clé.
Format:
Ton lien doit avoir un titre clair et une image pertinente pour que sa valeur soit visible au premier coup d’œil.
LinkedIn met en cache les données de lien pendant 7 jours. Donc si tu mets à jour une page mais que l’aperçu ne change pas, rafraîchis-le via LinkedIn Post Inspector.
Sur Webflow, tu peux modifier les settings Open Graph dans les options de page.
Sur WordPress, utilise un plugin Open Graph pour éditer les previews.
Posts publiques:
Évite de coller ton lien directement dans le corps du post : LinkedIn pénalise les URLs externes.
Meilleure stratégie : écris ton post sans lien, puis ajoute-le en premier commentaire.
Sois transparent : note simplement “Lien en commentaire” pour guider tes lecteurs.
Messages privés:
Ne mets jamais un lien dans ton premier message. En cold outreach, tu dois commencer par une conversation, pas par un clic. Un lien trop tôt est souvent ignoré, voire signalé comme spam.
Crée d’abord de l’intérêt. Une fois que ton prospect répond, tu peux proposer naturellement ton lien :
“Je peux t’envoyer un petit case study si ça t’intéresse, tu veux que je le partage ici ?”
Si tu dois absolument mettre un lien tôt:
Évite les longues URLs avec UTM ou tracking tokens : ça fait suspect.
Utilise un tracking domain brandé (par ex. via La Growth Machine), qui te permet de suivre les clics sans exposer de raccourcisseurs tiers type Bitly.
Quand c’est possible, privilégie l’anchor text plutôt que l’URL brute (ex : “Voici le case study”). Ça marche en InMail ou email, mais pas dans le chat LinkedIn.
Last but not least : Assure-toi que ta landing page est mobile-friendly et rapide à charger. Le pire scénario, c’est de gagner un clic pour ensuite perdre le lead à cause d’une mauvaise UX.
Optimiser un lien sur LinkedIn, ce n’est pas “hacker” l’algo, c’est juste s’aligner avec le comportement des gens.
Ne commence pas par le lien. Gagne le droit de le partager. Et quand tu le fais, assure-toi qu’il soit clean, pertinent, et qu’il arrive au bon moment dans la conversation.
Maintenant que tu maîtrises les bases, passons au chapitre suivant : Comment utiliser les voices LinkedIn pour susciter l’intérêt des prospects !
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