Dans la pratique, PhantomBuster et La Growth Machine sont deux solutions sensiblement éloignées. On pourrait même imaginer un monde où les deux solutions sont complémentaires.

Mais si vous deviez faire un choix, La Growth Machine vous permet de faire beaucoup plus de actions, dans un seul et même endroit :

– La Growth Machine propose un ensemble de fonctionnalités plus avancées et abouties lorsqu’il s’agit de faire de faire du multicanal at scale. PhantomBuster n’intègre que peu de ces fonctionnalités. Par exemple, vous ne pouvez pas envoyer d’email à partir de PhantomBuster.
– La Growth Machine permet d’intégrer des tâches manuelles (comme les calls, par exemple) à vos workflows pour encore plus de personnalisation. Cette fonctionnalité n’existe pas chez PhantomBuster.
– La Growth Machine permet de trouver des contacts, de les importer, de créer des séquences custom pour les engager, et de les qualifier. Tout ça dans un même outil. PhantomBuster permet de scraper, d’enrichir, et de faire un peu d’outreach tant bien que mal.
– La Growth Machine propose une souplesse absolue en matière de création de campagne. Chez PhantomBuster, vous êtes enfermé dans des flows relativement basiques et qui ne conviendront pas à tous les use-cases.

PhantomBuster propose d’automatiser sa prospection via des flows LinkedIn mais pas par email, pourtant indispensable lorsque vous voulez faire de l’outreach en B2B.

La Growth Machine intègre LinkedIn, l’email ainsi que X (Twitter), qui peut s’avérer intéressant pour les personnes qui font de l’outreach via ce canal.

Et pour aller plus loin, vous pouvez même intégrer les appels de vente à vos campagnes en passant par les extensions Aircall ou Ringover, et littéralement passer vos coups de fils commerciaux directement depuis La Growth Machine !

Une flexibilité qui n’existe pas chez PhantomBuster.

PhantomBuster et La Growth Machine propose deux expériences bien distinctes, mais les deux sont relativement bien travaillées en ce qui concerne l’UX :

– PhantomBuster vous guide très rapidement vers des flows qui vous permettent de faire des actions très concrètes comme scraper des leads depuis LinkedIn et les engager dans la foulée.
– La Growth Machine vous apprend, dans un onboarding guidé, à importer des leads via LinkedIn, un CSV ou votre CRM puis à créer et lancer votre campagne.

Finalement, les solutions sont tellement éloignées en termes de fonctionnalités qu’on pourrait presque parler d’outils complémentaires :

PhantomBuster scrape et enrichit très bien, et permet d’aller chercher de la donnée sur des sources que ne gère pas La Growth Machine, comme Instagram par exemple.

A l’inverse, La Growth Machine ne permet pas de scraper, mais permet de faire tout le reste (enrichissement, création de campagne, lead management, reporting, etc…).

Si vous avez besoin de faire de l’outreach, nous vous suggérons soit :

– d’utiliser La Growth Machine seul – d’autant plus que nous venons de sortir LGM Finder, qui vous permet de trouver vos leads directement depuis notre outil, grâce à l’Account-Based Marketing.
– d’utiliser PhantomBuster en amont pour scraper si vous avez des besoins un peu exotiques que ne couvrent pas Sales Navigator ou LGM Finder, et La Growth Machine en aval pour engager vos prospects grâce au multicanal et de manière automatisée.