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Quand tu démarres avec le cold emailing, les erreurs les plus petites peuvent avoir l’impact le plus fort.
Par exemple, inclure des images dans ton email peut sembler une bonne idée pour le rendre plus joli… mais en réalité, ça augmente tes chances d’atterrir en spam.
Les filtres anti-spam sont faits pour repérer tout ce qui a l’air trop promotionnel ou automatisé. Résultat : les emails avec des images intégrées, des boutons ou un formatage coloré déclenchent vite des red flags.
Autre piège classique : l’utilisation de spam words.
On peut les classer en 5 catégories :
Mots liés à l’argent et aux gains : Gagner de l’argent rapidement, Revenus supplémentaires, Argent gratuit, Devenez riche vite, Doublez vos revenus, Liberté financière, Million d’euros
Offres trop alléchantes / promesses : 100% gratuit, Sans risque, Offre exclusive, Temps limité, Dépêchez-vous, Offre unique, À ne pas manquer
Pression et urgence : Urgent, Agissez immédiatement, Accès instantané, Dernier rappel, Réponse immédiate requise, N’attendez plus, Postulez maintenant
Mots douteux : Vu à la télé, Garantie, Sans engagement, Sans conditions, Annulez à tout moment, Satisfaction garantie, Cliquez ici, Ceci n’est pas une arnaque
Formules spam classiques : Félicitations, Gagnant, Vous avez été sélectionné, Cher ami, Bonjour cher, Ceci n’est pas du spam, Re: (quand ce n’est pas dans un thread)
N’oublie jamais ton objectif : tu veux sonner comme un humain, pas comme une newsletter.
Si ton email domain est tout neuf, tu dois créer un peu d’activité pour gagner la confiance des autres serveurs mail.
Un domaine qui se met à envoyer plein d’emails d’un coup, c’est direct suspect!
Il y a deux approches possibles :
Pendant les trois premières semaines, utilise ton adresse pro pour échanger avec des gens en dehors de ton organisation.
Abonne-toi aussi à quelques newsletters pour augmenter le volume et la variété des mails que tu reçois.
Certains services gèrent ce process à ta place. Ils “warm up” tes emails en créant automatiquement des interactions entre boîtes (ouvertures, réponses, sorties du spam).
Tu peux tester des outils comme MailWarm, MailReach ou le service de warm-up de Gmass.
Exemple avec MailReach :
Inscris-toi et connecte ta boîte SMTP.
Lance un warm-up de 14 jours (pas de vrais envois).
Laisse MailReach orchestrer automatiquement : ouvertures positives, réponses simulées, suppression du spam.
Une fois terminé, démarre tes vraies campagnes tout en gardant MailReach en background.
Surveille ton score de réputation et augmente progressivement tes volumes (ex. 40 → 100+ / jour).
Et voilà. MailReach s’occupe du heavy lifting pour toi : tu poses les bases d’une réputation solide et tu boostes ta deliverabilité dès le jour 1!
Le titre de ton email c’est ta première impression, et c’est elle qui détermine si ton email sera ouvert… ou ignoré.
Ton objectif : créer juste assez de curiosité pour décrocher le clic, sans tomber dans le gimmick.
Par exemple :
“Petite question sur ta stratégie outbound”
“Une idée pour augmenter tes reply rates”
performeront bien mieux que :
“Obtenez 50% de leads en plus dès aujourd’hui !”
Concentre-toi sur la pertinence et le ton.
La structure de ton email joue un rôle clé dans la façon dont il est perçu… et même dans le fait qu’il soit lu ou pas.
Le layout visuel n’est pas qu’une question de design, c’est un vrai levier de lisibilité et de performance. En prospection, ton audience est occupée, distraite, et lit en diagonale. Ton job, c’est de rendre ton message facile à lire d’un coup d’œil. Moins il y a de friction visuelle, plus tu augmentes tes chances d’avoir une réponse.
Évite les gros blocs de texte:
Tes emails doivent respirer.
Utilise des phrases courtes, une idée par ligne, et espace entre les blocs. Ça crée du rythme et ça encourage à scroller.
Un flow simple et efficace ressemble à ça :
une ligne d’ouverture courte pour accrocher,
un deuxième paragraphe qui donne du contexte ou expose le problème,
une ligne finale qui propose de la valeur ou pose une question.
Le tout doit tenir sur une seule page, idéalement 5 à 7 lignes max.
Garde des lignes courtes:
Pas seulement en nombre de phrases, mais aussi en longueur de caractères. Sur mobile, une phrase trop longue qui se coupe en 4 lignes devient lourde et illisible. Vise moins de 50–60 caractères par ligne.
Ça crée aussi une asymétrie visuelle qui attire naturellement l’œil vers le bas, ligne après ligne.
Le format:
Aligne toujours ton texte à gauche. Le texte centré casse le flow de lecture dans un contexte pro.
Évite le formatage fancy : pas trop de bullet points, pas trop de gras, ou d’italiques. Ça peut sembler utile, mais ça déclenche souvent les filtres spam ou ça fait trop “marketing copy”.
Le plain text avec des sauts de ligne bien pensés, ça fait humain, naturel, et perso.
Fais ressortir ton CTA:
Ne l’enterre pas dans un paragraphe. Donne-lui sa propre ligne.
À la place de :
“Est-ce que ça aurait du sens d’explorer ça plus en détail si vous êtes ouvert ?”
Mets plutôt :
“Ça ferait sens d’explorer ça ?”
Ça donne du poids visuel à ton CTA et ça rend la réponse plus facile.
Teste le visuel sur mobile:
Plus de la moitié des emails sont ouverts sur smartphone. Si ton email ressemble à un pavé ou se coupe mal, tu perds ton lecteur direct.
Une structure clean, ce n’est pas du design, c’est du respect.
Quand ton email est léger, fluide et facile à analyser, tu montres que tu respectes le temps de ton prospect. Et ça, déjà, ça te distingue de la majorité du bruit.
La preview (ou preheader) est la petite ligne qui apparaît après le sujet (ou titre de ton email) dans la plupart des inbox.
Ce n’est pas un espace pour répéter ton opening line. C’est la suite de ton “ameçon” : tu l’utilises pour donner du contexte, renforcer la valeur de ton message, ou introduire un CTA.
Exemple :
Subject : “Scaler ton outbound”
Preview : “Cette petite idée pourrait intéresser ton équipe”
C’est bien plus engageant que de répéter “Scaler ton outbound”.
Quelques règles et questions à garder en tête :
Est-ce que le preview montre des éléments qui créent de la curiosité ?
Est-ce qu’il flatte le lecteur ou le fait se sentir valorisé ?
Est-ce que cette personne (ou ce type de persona) a l’habitude qu’on s’adresse à elle de telle ou telle manière ?
Est-ce que ça risque de choquer et de te griller dès le début ?
Ton objectif : créer une vraie connexion dès les premières secondes
Crée de l’empathie, parle d’eux (pas de toi)
Reconnais que leur temps est précieux
Montre qu’ils sont importants
Évoque leur pain point
Explique pourquoi tu les contactes
Cet espace est précieux : utilise-le pour compléter l’histoire que ton titre a lancée.
Le spin syntax est un outil puissant pour personnaliser tes emails à grande échelle tout en évitant la multiplication de leur contenu.
Le principe : tu écris plusieurs versions d’un même message en faisant tourner des mots ou des expressions de manière dynamique.
👉 Exemple simple :
Au lieu d’écrire :
“Salut John, j’ai vu que ton équipe recrute”
Tu pourrais écrire :
“{Salut|Bonjour|Hey} {John|là}, j’{ai vu|ai remarqué|suis tombé sur le fait que} ton équipe est en train de {recruter|grandir|s’agrandir}.”
Avec cette structure, ton provider va générer une variation unique pour chaque destinataire.
Résultat : tu réduis les risques de détection par les filtres spam, et ton outreach paraît beaucoup plus personnalisé.
Bien utilisé, le spin syntax peut booster tes open rates et reply rates, surtout si tu l’associes à un bon targeting.
Passons au chapitre suivant : Comment configurer correctement ton domaine email ?
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