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Voici un exemple d’une séquence réelle que nous utilisons.
Pour cet exemple, nous nous concentrerons sur la partie de la séquence où les prospects sont déjà en contact avec nous ou ont accepté notre invitation.
Qui cible-t-on ?
Followers de Clay (LinkedIn)
Boîtes SaaS Pre-PMF (10–20 employés)
Head of Sales / Sales Manager
Basés aux US
Pourquoi cibler les users de Clay dans des boîtes de software development ?
Clay users = signal de maturité
Si quelqu’un suit Clay ou utilise Clay, c’est qu’il réfléchit déjà en termes de data workflows, enrichment, automation. Ce n’est pas un lead débutant. C’est quelqu’un qui cherche déjà à level up son outbound.
Tu n’as pas besoin de le sensibiliser, tu arrives dans un mouvement déjà existant.
Software development = acheteurs techniques
Ces équipes adorent les tools, mais ce sont souvent celles qui jonglent avec 4–6 solutions différentes en parallèle. Elles maîtrisent les intégrations via Zapier, N8N ou APIs, mais elles connaissent aussi la douleur des Zaps qui cassent, des étapes qui sautent, et du manque de visibilité cross-channels.
Pre-PMF = urgence + manque de bande passante
Dans une boîte Pre-PMF, chaque opportunité compte. Pas de grosse sales team. Le Head of Sales fait probablement à la fois de l’outbound, des démos et structure le process. Pas le temps de se battre avec des workflows bancals. Ils ont besoin de clarté, vitesse et fiabilité. Quand leur stack est fragile, ils le ressentent tous les jours.
Ton angle d’attaque = la consolidation
C’est là que ton angle est puissant : tu n’arrives pas avec “voici un outil de plus”, mais avec :
“Voici une façon de remplacer ton patchwork de tools par une seule plateforme qui gère l’enrichment, LinkedIn + email, sequencing, CRM sync… et oui, on s’intègre parfaitement avec Clay.”
Commençons.
D’abord, on utilise notre bloc “Is a contact ?” pour déterminer si on est déjà en contact avec eux sur LinkedIn.
Créer une connexion autour d’un intérêt commun (Clay) et tester rapidement s’il y a un pain/ de la friction dans la stack du lead.
Commencer par une accroche pertinente, pas par un pitch.
Friction = opportunité : le prospect ressent probablement la douleur des workflows éclatés et du trop-plein de tools.
Tu mets des mots sur sa réalité avant même de pitcher quoi que ce soit.
Le message ne vend rien, il explore et invite le prospect à se reconnaître dans une frustration.
Ça sonne comme un échange peer-to-peer, pas comme un message automatisé.
Référence à Clay = pertinence immédiate
Ton soft, message qui semble “crafté”
Introduit un problème que le prospect n’a peut-être pas encore verbalisé
Renforcez le récit autour du fait que le lead à un soucis d’une manière plus conversationnelle..
Tester la réactivité et inviter le lead à parler de sa stack.
L’interruption du schéma habituel de follow-up + humour léger (« Je prends ça pour un oui ») font ressortir le message.
La question ouverte réduit la friction à y répondre : pas de pitch, on écoute.
C’est ta première vraie tentative d’engagement.
Tu continues sur le pain de ton lead sans être répétitif.
“Where is it failing ?” est puissant, ça part du principe qu’il y a un échec, ce qui pousse le prospect à réfléchir ou clarifier.
Pousser le lead à répondre en introduisant un choix binaire en complément du message précédent :
“Est-ce que tu ne fais pas du tout d’outbound… ou est-ce que ta stack est cassée ?”
Joue sur la curiosité et l’ego : s’ils font déjà de l’outbound, ils auront envie de répondre.
S’ils n’en font pas, tu te repositionneras comme une ressource pour les aider à démarrer.
C’est un petit teasing, toujours sans être pushy.
Sous-entendu : “J’écoute encore, je ne vends pas.”
Si tu as suivi les best practices des modules précédents, tu devrais être alerté par la longueur du message et tu as raison.
Mais pas d’inquiétude : pour compenser cet effet “DM trop long”, on a activé le “Real Chat Mode”.
Le Real Chat Mode te permet d’envoyer tes messages LinkedIn sous forme de plusieurs petits messages courts, comme dans une conversation naturelle. Chaque phrase est envoyée séparément avec 1 seconde de délai entre chaque envoi.
Passer de l’exploration du problème à l’exposition de la solution.
Positionner LGM comme une extension naturelle de Clay, pas comme un concurrent ou un remplacement.
Autorité & social proof : “on a co-animé des webinars avec Clay”
La spécificité renforce la confiance : “LinkedIn + Email, scrapping, enrichment…”
Maintient une atmosphère conviviale en posant une autre question ouverte.
Imite un chat en temps réel pour créer un sentiment de proximité
Structuré comme une proposition de valeur + une question ouverte
Premier véritable pitch, mais présenté comme une aide
Rester dans le radar du lead et éviter d’être oublié en mettant en avant une nouvelle feature unique pour éveiller son intérêt.
Transparence + micro-éducation : tu lui apprends quelque chose de nouveau.
L’humour et le méta-commentaire (“because it looks like you’ve been typing it all”) rendent l’approche très humaine.
Un ton “juste entre nous” qui casse la perception d’automatisation.
Montre que même ta manière d’approcher reflète ton produit.
On envoie notre premier voice :
Exemple de script :
« Salut {{firstname}}, juste un petit mot rapide. J’ai pensé que ça pourrait t’intéresser, ce message est lui aussi automatisé. On aide des équipes comme la tienne à remplacer 3 ou 4 tools par un seul workflow. Curieux de savoir si c’est quelque chose que tu envisages! »
Re-humaniser la conversation avec un voice, se démarquer et créer de la confiance grâce à la transparence.
Pattern break : ils ne s’attendent pas à recevoir un voice en cold outbound.
Reconnaître l’automatisation construit paradoxalement de la confiance.
Ce n’est pas encore un pitch direct, c’est plus personnalisé. Ça marche particulièrement bien si combiné avec une activité sur LinkedIn (ils ont déjà vu ton nom ou ta photo).
On va vérifier si ton lead a une adresse e-mail professionnelle.
Si c’est le cas, nous passerons à la branche e-mail, pour maximiser vos chances car le lead ne semble pas actif sur LinkedIn.
Réactiver des leads dormants avec un ton enjoué et un changement de canal (LinkedIn → Email).
Montrer de la sophistication et de la valeur (on a enrichi ton email).
Reverse psychology (“Damn, you’re hard to impress!”).
Met en avant le produit en démontrant la puissance de l’automatisation.
Un mix intelligent de proposition de valeur, de répartie et de personnalisation.
Mise en avant du narratif “all-in-one vs tool stack”.
Réengager un lead dormant avec une preuve visuelle de valeur.
L’idée est de susciter de la curiosité et de réduire l’effort nécessaire pour comprendre le produit.
La persuasion visuelle : “une image vaut mille mots”. Le visuel rend les bénéfices concrets et réduit la charge cognitive.
Il y a aussi un léger FOMO (“les agences nous adorent ! Alors pourquoi pas toi ?”) et une clôture playful (“Je devrais avoir ton attention maintenant :)”) qui met une douce pression sans être pushy.
Plutôt que des promesses abstraites, on montre un cas d’usage réel, positionnant le produit comme la solution de référence pour une automation structurée et multicanale.
Ce mix d’autorité (d’autres l’utilisent), de clarté (démonstration visuelle) et de personnalité (ton friendly) veut permettre de différencier LGM de ses concurrents.
Mettre en avant une nouvelle feature produit (l’inbox) tout en ajoutant un social proof (HubSpot utilise LGM) pour pousser un lead non-réactif à s’engager.
Autorité & social proof : “Même HubSpot s’intéresse à LGM.”
La curiosité est stimulée en montrant une vraie capture d’écran de la feature en action.
LGM est présenté comme allant au-delà de l’outreach LinkedIn + Email, en offrant un hub central qui simplifie la gestion des replies, et prouve qu’il est déjà adopté par des acteurs de référence.
Adresser un nouveau pain point classique des sales : l’effort manuel de mise à jour des CRMs comme HubSpot ou Pipedrive.
L’idée est de montrer comment LGM élimine cette frustration grâce à son intégration native aux CRMs, simplifiant ainsi le workflow du prospect.
On rappelle au lecteur la tâche fastidieuse et peu aimée de la mise à jour manuelle des CRMs, puis on propose immédiatement une solution.
En le présentant comme un “classic sales pitfall”, on crée de l’empathie et on positionne LGM comme la solution.
LGM est présenté comme un accélérateur de productivité qui comble le fossé entre outreach et CRM.
L’accent mis sur les intégrations natives et la synchro automatique le différencie des outils d’outreach basiques, et nous positionne comme une solution plus complète et sales-friendly
Faire une dernière tentative pour engager le lead en présentant une seule proposition de valeur à fort impact (Lookalike AI) couplée à un CTA direct (essai gratuit).
Mettre l’accent sur le fait qu’il va rater une opportunité : le “If your pipeline is dry” est le cauchemar de tout sales. On combine ça avec de l’urgence (dernière tentative) et de la curiosité autour d’une nouvelle techno (lead gen pilotée par l’IA).
LGM est présenté comme le pipeline filler ultime, qui supprime la galère du list-building et garantit un flow continu de leads. La ligne “bugger off” adoucit la conclusion, garde un ton casual et non menaçant, tout en restant confiant.
Pour la deuxième branche de la séquence, les DM LinkedIn gardent les mêmes objectifs, déclencheurs psychologiques et positionnement.
Le contenu est également identique, simplement adapté pour respecter les best practices sur LinkedIn :
messages plus courts,
style “chat”,
pas de signature
Cette séquence met en pratique plusieurs fondamentaux du modern outbound :
C’est tout pour notre module 4, passons au module suivant : Comment gérer les réponses et optimiser les performances!
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