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LinkedIn est souvent le canal le plus efficace dans une stratégie multicanal mais seulement si tu l’utilises de la bonne manière.
La première chose à comprendre, c’est que LinkedIn impose des limites strictes sur le nombre d’invitations que tu peux envoyer chaque semaine. Dans la plupart des cas, c’est autour de 100 invitations par semaine et par compte, ce qui veut dire que chaque demande doit vraiment compter.
Ton objectif n’est pas de connecter avec le plus grand nombre de personnes possible, mais de maximiser ton taux d’acceptation. Un bon benchmark est 30–40 % ou plus. Si tu es en dessous, il y a de fortes chances que ton profil ou ton message ne soient pas assez convaincants… ou que tu cibles simplement les mauvaises personnes.
Pour améliorer ton taux d’acceptation, concentre-toi sur :
Ce n’est pas un substitut au ciblage ou au copywriting, mais un boost qui rend les deux plus efficaces.
Avec La Growth Machine, plusieurs features t’aident à booster directement tes performances LinkedIn :
Magic Message : Auto-génère des messages de connexion personnalisés, humains et pertinents, adaptés au rôle du lead et au contexte de ta campagne.
Visit Profile block : Ajoute une étape de warm-up avant l’invitation. Tu visites automatiquement le profil du lead → ton nom devient familier → ton taux d’acceptation monte.
Intent Data Import : Importe les leads déjà actifs sur LinkedIn (ceux qui commentent un post, participent à un event, likent un contenu, ou suivent ta boîte).
Lead Database : Trouve des profils LinkedIn vérifiés qui matchent ton persona cible, sans te baser sur des exports bruités.
Lookalike feature : Génère automatiquement de nouveaux leads similaires à ceux qui ont déjà accepté ou répondu positivement → tu doubles ce qui marche déjà.
Filters & Exports : Suis ton taux d’acceptation et de reply directement depuis les stats de campagne, et exporte tes données pour affiner par persona ou par angle de campagne.
Ces features fonctionnent ensemble pour transformer ton quota limité d’invitations LinkedIn en canal haute performance, en envoyant de meilleures invitations, à de meilleures personnes, au meilleur moment.
L’email reste l’un des canaux outbound les plus puissants mais seulement si tes messages arrivent vraiment jusqu’à tes leads, sont ouverts, et suscitent de l’intérêt.
Optimiser tes performances email, ça veut dire suivre 4 metrics clés : bounce rate, open rate, click rate et reply rate, et agir à la fois sur le plan technique et stratégique pour améliorer chacun d’eux.
Voyons ça en détail.
Un haut taux de bounce abîme la reputation de ton domaine et impacte ta deliverabilité sur le long terme.
Benchmarks (selon le volume envoyé) :
<7% → faible risque
7–12% → acceptable
12–20% → à risque (surtout si tu envoies +200 emails/jour)
20%+ → dangereux
Comment réduire ton taux de bounce :
Vérifie ta liste d’email : utilise des outils comme Bouncer, ZeroBounce ou NeverBounce avant d’importer.
Désactive les “catch-all” emails : plus tu enrichis des emails “à risque”, plus tu prends de risque.
Check la santé de ton domaine : des outils comme MxToolBox permettent d’évaluer ta réputation et de voir si tu es blacklisté.
Ton open rate te dit si tes emails arrivent bien dans l’inbox de ton destinataire et s’ils sont ouverts.
Un bon open rate dépend de deux choses : un setup technique clean + un copywriting solide.
Benchmarks :
<60% → mauvais : check ton setup ou retravaille ton copywriting.
60–80% → moyen : setup correct, mais tu peux améliorer ta segmentation ou tes subject lines.
>80% → excellent.
100% → suspect : souvent dû à des ouvertures auto (ex. HubSpot qui “ouvre” les emails ou un anti-virus).
Comment améliorer ton open rate :
Warm up ton domaine : les nouveaux domaines doivent gagner la confiance des serveurs. Commence low volume et monte petit à petit.
Configure SPF & DKIM : utilise le verifier de LGM pour être sûr que tout est bien en place.
Setup un custom tracking domain : évite de partager le domaine par défaut de LGM. Sinon, ta deliverabilité dépend des autres users.
Limite le volume : reste sous les 300 emails/jour/sender et évite les pics.
Évite le spammy language : teste tes emails avec Mail-Tester pour spotter les mots à risque.
Travaille ton titre, sender name et preview text : c’est ce que ton lead voit en premier, traite-les comme une ad copy.
Warm up tes leads : avant d’envoyer un email, fais une touche LinkedIn (visite profil, like un post) ou lance une pub brandé en pre-sequence.
Le click rate est un super indicateur d’intérêt, surtout quand tes emails renvoient vers des case studies, des démos, ou des pages avec des lead magnets.
Benchmarks :
0% → t’as sûrement oublié d’activer le tracking.
5–8% → bon.
>8% → excellent.
Comment améliorer ton click rate :
Utilise des hyperlinks : ne colle jamais une URL brute.
Segmente précisément : ton lien doit matcher le pain ou la curiosité de ton audience.
Un seul lien : mieux vaut un CTA fort qu’une pluie de liens faibles.
Custom tracking domain : même règle que pour l’open rate — un domaine partagé = réputation plus fragile.
Le reply rate est ton KPI le plus important, c’est la porte d’entrée vers de vraies conversations. Un bon taux de réponse vient de la qualité de tes leads et de messages qui donnent envie de répondre.
Benchmarks :
<10% → faible : revois ta segmentation ou ton ton.
10–20% → moyen.
>20% → très bon.
Comment améliorer ton reply rate :
Enrichis tes leads : pas d’email vérifié = pas de réponse. LGM fait un enrichissement vérifié avec une marge d’erreur de 2–5%.
Segmente petit et malin : utilise Sales Navigator, des filtres Boolean, et la logique firmographique pour créer des audiences ciblées.
Un seul message = une seule proposition de valeur : évite de noyer ton lead d’info.
CTA conversationnel : commence soft. Les premiers emails doivent poser des questions ouvertes, pas pitcher un call direct.
Icebreakers & attributs custom : surtout pour les leads early-stage ou les cibles à forte valeur.
Utilise les LGM Spins : sur les utilisateurs Outlook (très fréquent dans les grosses boîtes), active les spins pour bypasser les filtres spam.
Warm-up multicanal : construis de la familiarité avec des visites LinkedIn, des soft touchpoints ou des brand ads avant que l’email n’arrive.
En résumé : l’optimisation email, ce n’est pas juste écrire mieux. C’est mettre en place une infra solide, rester sous le radar, et aligner chaque élément (technique, stratégique, créatif) avec ton segment. La Growth Machine te donne les outils pour monitorer et agir à chaque niveau.
Les tâches de call sont le point de contact le plus direct et le plus humain dans ta séquence. Mais ce sont aussi les plus difficiles à maîtriser : il faut du timing, de la précision, et une structure solide pour obtenir des résultats surtout si ton objectif est la conversion, pas juste la connexion.
Dans La Growth Machine, les call tasks apparaissent directement dans ton dashboard de performance, avec 4 métriques clés :
Leads contactés : nombre total d’appels déclenchés dans la séquence.
Leads injoignables : ceux que tu n’as pas pu joindre par téléphone.
Répondu : ceux qui ont décroché et engagé la conversation.
Leads gagnés : ceux convertis pendant ou après l’appel.
Ton objectif n’est pas seulement de réduire le taux “injoignable”. C’est surtout de construire des conversations qui convertissent — même si l’appel ne mène pas à un deal immédiat.
Si ton taux de lead injoignable est élevé, le problème vient souvent du timing ou de la qualité de tes données.
Pour améliorer ça :
Appelle aux bons moments : la fin de matinée (10h–11h30) et le début d’après-midi (14h–16h) donnent généralement de meilleurs résultats.
Évite d’appeler juste après un email ou un message LinkedIn, sauf si le lead a montré un signe d’activité. Priorise les leads “chauds” ou actif.
Utilise de bonnes datas pour les numéros de téléphone : assure-toi que ton enrichissement inclut des numéros valides (mobile ou direct).
Un bon call sale n’est pas un pitch, c’est un outil de discovery et de qualification. En suivant la structure recommandée, vise un flow comme celui-ci :
Sois humain. Présente-toi, explique ton intention et vérifie la dispo.
« Salut {firstname}, c’est {{ton prénom}}. Je sais que c’est un peu à l’improviste — tu as 30 secondes ? »
Rappelle pourquoi tu appelles, surtout si ça fait suite à une séquence multicanal.
« On a échangé sur LinkedIn, je me suis dit que je pouvais t’appeler rapidement. »
Partage une seule valeur clé liée à leur profil ou à leur problème. Ne pitche pas tout ton produit.
Pose des questions pour comprendre leur contexte et qualifier si intérêt il y a.
« Comment vous gérez X en ce moment ? »
« Est-ce que c’est toi qui es en charge de Y ? »
Propose des next steps seulement si l’intérêt est clair, idéalement booker un rendez-vous ou convenir d’un suivi.
« Est-ce que ça ferait sens de creuser ça lors d’une courte démo avec l’équipe ? »
Il n’y a pas de vrais benchmarks fixes pour les appels puisque les résultats dépendent beaucoup de ton ICP et du timing, mais d’après notre expérience :
Les calls demandent beaucoup d’effort, donc ils doivent rapporter gros. Utilise-les au bon moment, avec le bon script, et sur les bons leads.
Et maintenant, en route vers notre prochain module : Créer une machine à générer des leads!
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